L’école Youri Gagarine de Vaulx en Velin, les collèges : Honoré d’Urfé et Les Champs de Saint Etienne, le Tonkin de Villeurbanne et les lycées : Condorcet de Saint Priest, Ferney Voltaire, René Descartes de Saint Genis Laval et Ampère de Lyon se sont rassemblés dans la cour d’honneur de l’hôtel de ville. Ils ont été félicités par le recteur d’académie Olivier Dugrip.

Des représentants de chaque classe ont donc à tour de rôle, expliqué leur projet. Les productions réalisées ont été très variées : bande dessinée, vidéo, récit, journal télévisé, poème, danses, rap….

Ces présentations ont été ponctuées par un intermède poétique « Blanco Negro »

et également un intermède musical, « L’esclave est un objet »,  un morceau de rap  écrit par les élèves du lycée Ampère, deux productions réalisées pour le concours.

 Pour finir, le collège du Tonkin a proposé une performance chantée- dansée autour de la capoeira « Le racisme, quelle racine ? Une histoire de l’esclavage ».

 

Ces productions ont démontré l’attachement porté aux valeurs de notre République :  liberté, égalité et fraternité qui sont l’incarnation concrète de l’abolition de l’esclavage et réaffirme le principe du respect de la dignité de la personne humaine.

Lauréat académique dans la catégorie "Ecole"

Un clip vidéo « Les enfants esclaves »

Les élèves de CM1 de l’Ecole Youri Gagarine de Vaulx en Velin se sont engagés dans la réalisation d’une vidéo illustrée par leurs dessins. Les élèves racontent les difficultés que peuvent rencontrer les enfants esclaves dans le monde et   qui sont soumis au travail forcé. Véritable plaidoyer pour que les droits des enfants soient respectés.

Présentation des élèves lors de la remise du diplôme

Découvrez le projet

Lauréat académique dans la catégorie "Lycée"

Avec une BD « L’esclavage, le commerce triangulaire »

Quatre élèves de première du Lycée Condorcet de Saint Priest ont réalisé une BD qui raconte l’histoire d’une jeune fille Inaya qui a été déportée sur le continent américain puis vendue à Monsieur Lawrence   pour s’occuper des plantations de tabac. S’opposant au maitre qui abuse régulièrement d’elle en guise de punition, elle se rebelle et donne une flamme d’espoir aux autres esclaves.

Prise de parole des élèves

Découvrez la bande dessinée

Ces deux travaux seront soumis à un jury national.  Les résultats seront connus le 2 décembre 2022 sur le site  https://www.laflammedelegalite.org/index.php

Les élèves qui ont participé à la fois à la cérémonie de commémoration de l’abolition de l’esclavage Place Antonin Poncet et à la réception à l’hôtel de ville de Lyon   ont donc célébré l’abolition de l’esclavage et consacré un temps d’étude à la mémoire à ce que fut   la vie des esclaves, la traite, leur lutte pour leur liberté, leur libération et leur accession à la plénitude des droits.

Cette journée du 10 mai aura permis aux 220 élèves de l’académie de promouvoir et développer sous toutes ses formes en tout temps et en tout lieu la dignité de la personne humaine.